Selon l'ADEME*, la fabrication de la batterie représente le tiers de l’empreinte carbone d’un véhicule électrique (utilisation d’électricité d’origine fossile et extraction de matières stratégiques telles que le cobalt ou le lithium). À compter de 2024, l’Union européenne envisage d'imposer aux fabricants de mesurer cette empreinte sur l’ensemble du cycle de vie de la batterie, de la production au recyclage. À horizon 2027, le projet de règlement européen étudie la fixation de seuils maximaux d’empreinte carbone.
En association avec les fournisseurs pour diminuer l’empreinte carbone de la production (utilisation d’énergie et de matières décarbonées).
Centres de réparation des batteries pendant leur première vie et de batteries d'occasion.
Recyclage en boucle fermée de matériaux stratégiques (cobalt, nickel, lithium) pour produire de nouvelles batteries.
Stockage stationnaire d’énergie renouvelable, solutions mobiles (bateaux, systèmes frigorifiques, engins aéroportuaires), V2G.
LES ACTIVITÉS DE RECYCLAGE, D'ENTRETIEN ET DE SECONDE VIE SONT RÉALISÉES AU SEIN DE L’ÉCOSYSTÈME FLINS/RE-FACTORY
20 %
de réduction de l'empreinte carbone de la batterie de la nouvelle R5 par rapport à celle de ZOE en 2025. La réduction devrait atteindre au moins 35 % en 2030.
80 %
Part des matériaux stratégiques recyclés que Renault Group prévoit de réintégrer dans la production de nouvelles batteries en 2030 (boucle fermée).
V2G
Demain, la technologie « vehicle to grid » (V2G) permettra aux véhicules électriques de reverser de l'énergie dans le réseau électrique pour réguler les pics de consommation.
*Agence de la transition écologique (France)